La Femme n’appartient pas au Foyer: Une Étude de L’Émancipation et La Révolution Économique des Femmes dans La nouvelle Romance d’Henri Lopes
Abstract
Le fait qu’il existe toujours en ce 21e siècle, l'idée que la place de la femme est le foyer, voire la cuisine, n’est pas pour rire. Cette croyance est profondément ancrée dans la culture patriarcale traditionnelle de la plupart des sociétés africaines, qui interdit aux femmes de contribuer activement au développement économique, politique et socioculturel des sociétés de leur pays d'origine. Même avec leur éducation et d'autres moyens de développement, un bon nombre d'hommes africains, dont font partie des dirigeants politiques, croient encore et osent même imposer la conviction que la femme est tout au plus précieuse à la maison - pour faire les tâches ménagères, élever et soigner les enfants, et satisfaire régulièrement les pulsions sexuelles de son mari. Cet article se propose donc d’exposer à la fois, l’origine, la fausseté et le fondement de cette croyance abusive, et de condamner encore sa pratique. Ceci est réalisable à travers une étude de l’émancipation et la révolution économique des femmes dans La nouvelle Romance d’Henri Lopes, précisément les cas des trois personnages féminins-Elise, Awa et Wali. L'étude adopte la théorie du Marxisme Féministe et s'appuie sur des sources littéraires écrites liées à ses différents aspects de réflexion dont la plupart sont traduites de l’anglais au français. Ce qu’elles révèlent nous inspire de pousser un nouveau cri aux gens de bonne volonté partout dans le monde, pour l’action de se soulever contre l’abus continu des droits fondamentaux des femmes, surtout, en Afrique, afin qu’elle aboutisse à leur libération de toute forme d'asservissement par les hommes, et leur permette de réaliser et de maximiser leurs potentiels économiques naturels, entre autres, pour le bien-être de leurs familles et de la société en général.
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