LA REVOLTE FEMINISTE DANS PERPETUE ET L’HABITUDE DU MALHEUR ET LA RUINE PRESQUE COCASSE D’UN POLICHINELLE DE MONGO BETI

Abstract

Le problème de féminisme a engendré beaucoup d’écrits à travers plusieurs écrivains du globe. Le problème de féminisme porte particulièrement sur la cherche d’égalité entre un homme et une femme. C’est alors, la question des complexes dans laquelle une femme ou le sexe féminine est considérées inferieur au sexe masculin regarder comme celui supérieur. Cette positon a bien provoqué des réactions chez les femmes particulièrement celles considérées comme « les élites » dans le globe entier et en Afrique indépendante en particulier. Ce n’est pas seulement chez les femmes. Il y a beaucoup d’écrivains du sexe opposé qui rendent en leurs apports au sexe féminin pour contester et même contaminer violement ce fait d’infériorité attribué à ce sexe féminin. En Afrique, nous avons beaucoup de ces écrivains tels que Mongo Beti, Ousmane Sembène, Wole Soyinka, Guillaume Oyono-Mbia et ainsi de suite. Les femmes, particulièrement celles Africaines paraissent être silencieuses devant ce fait « d’infériorité » surtout les femmes illitéreés.Mais il arrive parfois les instances dans lesquelles elles se révoltent contre cet acte considèrée comme celui « abérrant ». Voilà pourquoi dans les romans Perpétue et l’habitude du malheur et La ruine presque cocassed’un polichinelle de Mongo Beti, perpétue l’héroïne de Perpétue et l’habitude du malheur nous présente des signes révoltants face au mal traitement par le bias de son époux, Edouard. Ces éléments révoltants s’apparent aussi chez Elingui Ngwane le protagoniste du roman La ruine presque cocasse d’un polichinelle du même auteur. Ces éléments sont apparents dans plusieurs ouvrages des écrivains africains dont nous allons faire témoigne